Séraphin Lampion, des assurances Mondass
Posté : Dim Fév 26, 2017 3:10 pm
Inscrit depuis 2008, je publie mon premier post en 2017, je n'ai pas réussi à attendre 10 ans. Voici ma biographie.
Né en 1971, Séraphin Lampion aime très tôt la musique. Si le Nord, c'était les corons, Maman écoute à la maison Brassens, Sidney Bechett, Louis Armstrong, Frank Sinatra et Jean Sébastien Bach qui venait souvent jouer de l'orgue quand Papa était au travail. Alors qu'il commence dès 1977 une impressionnante collection de disques 45 T avec le single "Ryhtmo Tropical" des Chocolat's, "Mon oeuf est tout neuf" d'Anne Sylvestre et "Butterfly Ball" de Roger Glover, il découvre Boney M, Sheila et les B-Devotion, et cette salope de Karen Sheryl. Cette période ne durera qu'un bref été puisqu'en 1978, il cible du sérieux et achète "Goldorak" par Noam et Pierre Delanoë, et en 1979, "Albator, le corsaire de L'Espace" par Eric Charden. Là, ça ne rigole plus. Mais ce qui va suivre va vous étonner.
Il est alors facile de réaliser le genre de claque qu'il se prend dans la gueule l'année de ses 12 ans lorsque son cousin, de deux ans son aîné, lui fait écouter (de retour de colo avec des plus grands qui avaient des vestes en jean), "Back In Black" d'AC/DC et "Van Halen I" de Van Halen. Milliards polite!
La vie de Séraphin Lampion prend donc une tout autre dimension. Il accède à une forme supérieure de conscience de l'Univers. Pour lui, le hard-rock n'est pas synonyme de dépression, (même si celui ci a tendance à n'attirer que les refoulés et les introvertis qui ont besoin de se sentir puissant).
Depuis, d'initiation musicale en initiation musicale, son champ de conscience karmique s'est tant cristallisé sur des œuvres sonores de qualité, telles que "Tokyo Tapes" de Scorpions (avec le solo aux vrai morceaux de batterie dedans), l'album solo de Peter Criss, ou encore la carrière du chanteur canadien Jon Mikl THOR, qu'il lui est désormais impossible d'envisager jouer un jour autre chose que du très bon hard rock d'avant 1983. Qué malheur !
Né en 1971, Séraphin Lampion aime très tôt la musique. Si le Nord, c'était les corons, Maman écoute à la maison Brassens, Sidney Bechett, Louis Armstrong, Frank Sinatra et Jean Sébastien Bach qui venait souvent jouer de l'orgue quand Papa était au travail. Alors qu'il commence dès 1977 une impressionnante collection de disques 45 T avec le single "Ryhtmo Tropical" des Chocolat's, "Mon oeuf est tout neuf" d'Anne Sylvestre et "Butterfly Ball" de Roger Glover, il découvre Boney M, Sheila et les B-Devotion, et cette salope de Karen Sheryl. Cette période ne durera qu'un bref été puisqu'en 1978, il cible du sérieux et achète "Goldorak" par Noam et Pierre Delanoë, et en 1979, "Albator, le corsaire de L'Espace" par Eric Charden. Là, ça ne rigole plus. Mais ce qui va suivre va vous étonner.
Il est alors facile de réaliser le genre de claque qu'il se prend dans la gueule l'année de ses 12 ans lorsque son cousin, de deux ans son aîné, lui fait écouter (de retour de colo avec des plus grands qui avaient des vestes en jean), "Back In Black" d'AC/DC et "Van Halen I" de Van Halen. Milliards polite!
La vie de Séraphin Lampion prend donc une tout autre dimension. Il accède à une forme supérieure de conscience de l'Univers. Pour lui, le hard-rock n'est pas synonyme de dépression, (même si celui ci a tendance à n'attirer que les refoulés et les introvertis qui ont besoin de se sentir puissant).
Depuis, d'initiation musicale en initiation musicale, son champ de conscience karmique s'est tant cristallisé sur des œuvres sonores de qualité, telles que "Tokyo Tapes" de Scorpions (avec le solo aux vrai morceaux de batterie dedans), l'album solo de Peter Criss, ou encore la carrière du chanteur canadien Jon Mikl THOR, qu'il lui est désormais impossible d'envisager jouer un jour autre chose que du très bon hard rock d'avant 1983. Qué malheur !