Tokaï Love Rock 2004
Posté : Mer Sep 01, 2021 3:05 pm
Messieurs, cette guitare vaut le détour (400 bornes aller/retour)
Je savais que Tokaï avait bonne réputation, mais n'avais jamais testé.
Voilà qui est fait, et la réputation de cette marque n'est pas usurpée.
Modèle Love Rock de 2004, made in Japan. (ex Kosmo. Qui a quelques autres merveilles sous le coude. )
A la prise en main (unplug) tu sens déjà que la qualité est là, les bois, les bonnes vibrations, la résonance, le manche, les frettes, tout est évident, présent, affirmé !
En revanche le câblage deux volumes, deux tones avec la course des potards « en droitier » ça c'est cauchemardesque ! Alors tout décâblé et reconstruit avec un seul potard de volume (câblé en gaucher) sans les tones et avec cerise sur le gâteau: un split du micro manche avec les fils rouge et blanc soudés qu'il faut aller récupérer accrochés à un fil de nylon en passant au travers des cavités gibsoniennes (vive les Ibanez).
Résultat, les Seymour Duncan Sh5 et Sh2 respirent, ils délivrent un son clair dynamique, puissant et mordant, à la limpidité d'une eau de lagon idem au bleu de la table, et au sustain interminable.
Deuxième cerise sur le gâteau, les boutons de potards, dits: chapeau de sorcière plus classe que ceux d'origine.
Conclusion, même si les micros de couleurs diffèrent ce n'est pas gênant, bien au contraire, cela apporte une harmonie, entre les boutons de potards noirs, et le contour blanc du sélecteur.
Un véritable coup de cœur pour cette guitare.
Je savais que Tokaï avait bonne réputation, mais n'avais jamais testé.
Voilà qui est fait, et la réputation de cette marque n'est pas usurpée.
Modèle Love Rock de 2004, made in Japan. (ex Kosmo. Qui a quelques autres merveilles sous le coude. )
A la prise en main (unplug) tu sens déjà que la qualité est là, les bois, les bonnes vibrations, la résonance, le manche, les frettes, tout est évident, présent, affirmé !
En revanche le câblage deux volumes, deux tones avec la course des potards « en droitier » ça c'est cauchemardesque ! Alors tout décâblé et reconstruit avec un seul potard de volume (câblé en gaucher) sans les tones et avec cerise sur le gâteau: un split du micro manche avec les fils rouge et blanc soudés qu'il faut aller récupérer accrochés à un fil de nylon en passant au travers des cavités gibsoniennes (vive les Ibanez).
Résultat, les Seymour Duncan Sh5 et Sh2 respirent, ils délivrent un son clair dynamique, puissant et mordant, à la limpidité d'une eau de lagon idem au bleu de la table, et au sustain interminable.
Deuxième cerise sur le gâteau, les boutons de potards, dits: chapeau de sorcière plus classe que ceux d'origine.
Conclusion, même si les micros de couleurs diffèrent ce n'est pas gênant, bien au contraire, cela apporte une harmonie, entre les boutons de potards noirs, et le contour blanc du sélecteur.
Un véritable coup de cœur pour cette guitare.